Rozen p'tit nouveau
Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 06/02/2008
| Sujet: Kiras' Rozen [validée] Jeu 7 Fév - 9:56 | |
| ~Le perso~ Nom : Kiras'Prénom : RozenAge : 19 ansTaille : 1m 70Poids : trop maigre pour sa tailleCaractère : Rozen est toujours (ou presque) joyeux et de bonne humeur, il sourit souvent et il est sportif (il en a besoin avec tout les problèmes qu'il a ><"). Son coeur est grand comme l'Amérique, il a de la volonté, il est gentil, généreux et très fidèle que se soit un amour, amitié ou politique. Mais malheureusement, car on ne peut pas avoir que des qualités, Rozen s'attire souvent des ennuis avec des gangs, son passé l'a forcé à être voleur (mais il essaye d'arrêter), il agit sans vraiment réfléchir et se rend compte des conséquences après, son envie de bien faire lui fait faire souvent n'importe quoi.Il fuit souvent les gangs, sa tête étant mise à prix dans la plupart. Aime : Rozen aime les sucreries, faire du sport, les gens heureux, les jardins sur les toit, les oiseaux, la liberté, s'amuser, rire mais aussi le calme, les petits appartement, les fleurs, le chocolat de toute sorte, les animaux, les gens qui n'ont pas peur de se battre et de mourir pour leurs idées ou pour vivre comme il l'entende et surtout les mecs, pour lesquels il a une nette préférence, bien qu'une fille ne le dérange pas non plus.N'aime pas : Rozen n'aime pas son ex, le sang, les personnes qui le poursuive, les couteaux, le froid, les feuilles blanches (quand il en voit, il doit absolument écrire ou dessiner dessus), les cimetières et les stylos qui marche pas quand on en a besoin.Orientation sexuelle : bisexuelle ayant une préférence pour les mecs mais bi quand même.
~Physique~ Cheveux : Blond assez clairYeux : Naturel, violet mais il met souvent des lentilles de couleur.~Détails~ Passé *facultatif* : ['tention !!! YAOI - VIOL] Un enfant, d’environ douze ans, avec de magnifiques cheveux blond pale et dont les yeux violet reflétait une légère espièglerie, se cachait derrière plusieurs passants en essayant désespérément de voler une miche de pain sur un étalage du marché au nord de la Grande Ville. Il n’y arrivera jamais ! Il était beaucoup trop loin et s’il s’approchait encore le marchant le verrait forcement ! C’était dingue comme les gens du marché reconnaissaient les enfants de la rue et les voleurs d’un seul coup d’œil, si on te voyait tu pouvais être sur qu’il allait te chasser à grand coup de ballais au cul. L’enfant regarda d’un air triste un homme en noir qui venait d’acheter le dernier pain, justement celui qu’il essayait de voler, et finalement il décida de sortir du marché, à cette heure là, il n’y avait plus assez de monde pour se cacher de toute façon. Cet enfant marcha jusqu'à un petit parc puis s’assit un banc, il paraissait encore plus petit et chétif tant le banc était grand. Il soupira, les larmes aux yeux en se tenant le ventre, cela faisait maintenant 3 jours qu’il avait pris son dernier repas et s’il ne trouvait pas vite à manger il allait mourir de faim. Il maudissait encore et encore son sort quand une miche de pain, celle qu’il voulait voler il la reconnaissait, atterrit sur ses petites cuisses. Il la regarda une seconde sans comprendre avant de se jetait dessus pour la manger, puis après l’avoir engloutit et avoir récupérer ses facultés mental que la faim avait appauvrit, il se dit que le pain n’était pas arrivé par la bonne grâce de Dieu, alors il leva la tête pour voir un homme, celui qui avait acheté le pain et lui avait ensuite donné, debout devant lui. Il avait des cheveux mi-longs noirs qui lui tombaient devant les yeux, yeux d’un magnifique bleu d’eau, il semblait très pale mais avait une beauté envoûtante. L’inconnu parla d’une voix douce et grave :
- J’ai vu que vous sembliez avoir du mal à voler cette chose… Je l’ai prise pour vous…
L’enfant regarda l’adulte d’un air abasourdit, c’était la première fois que quelqu’un se montrait gentil et, en plus, polie avec lui, généralement on le traité comme un rat pestiféré, un vulgaire inférieure mais là, l’homme l’avait même aidé. Il sourit d’un sourire enfantin et innocent à cet inconnu qui était son sauveur. L’homme en noir sourit aussi en observant l’enfant d’un œil curieux.
- Mais quel est ton nom au fait ? - Je m’appelle Rozen, monsieur ! Puis-je vous demander le votre ?
Demanda-t-il timidement. L’homme le détailla un moment en léchant sa lèvre supérieure avant de lâcher d’une voix rauque un seul mot : Ethan. Et il disparut au fond de la rue derrière le parc. Rozen passa deux autres jours dans ce parc, espérant revoir son sauveur et ce n’est qu’a la fin du troisième jour, que Ethan se manifesta, l’enfant fonça droit sur lui, s’arrêta devant et lui tendit quelques billets, l’homme sourit et pris l’argent pour le mettre dans la poche arrière du vieux jeans de Rozen. Il le regarda les yeux remplit de surprise.
- Je n’en ai pas besoin, et puis, ce pain était un cadeau…
Rozen rougit, la voix de l’homme était si douce et si chaude à son oreille qu’il faillit en gémir. L’homme revint tous les jours à ce parc pour voir Rozen, et celui-ci tombait peu à peu sous son charme. Ethan, bien évidement, l’avait remarqué en profitant pour le touché plus qu’il n’aurait du, il savait déjà quoi faire du gamin, mais ça l’enfant l’ignorait et se laissait envoûter. Il est connut qu’on est encore innocent et naïf quand on ne voit pas le danger du loup qui montre les dents pour nous manger et Rozen ne voyait pas le loup qui le voulait.
Un jour, alors que Rozen attendait Ethan impatiemment un jeune garçon vint lui parler. Il était d’une pâleur maladive et semblait avoir de la fièvre, dans ses yeux on voyait que la folie avait pointé le bout de son nez. Ses yeux de fou étaient entourés de cernes monumentales, preuve qu’il ne devait pas avoir dormit des masses.
- Alors c’est toi qu’il a choisit ! - Quoi ? - Ethan… Ne te laisse pas avoir par lui ! C’est un démon… Il va tout te prendre jusqu'à ta fierté, si tu te laisses faire, avant que tu ne le remarques, tu lui mangeras dans la main et tu répondras à ses quatre volontés sans ciller et si tu cilles… Tu soufreras ! Et quand il se sera lassé, il t’abandonnera à ton sort, tu n’auras plus que tes yeux pour pleurer et tu réaliseras alors tout ce que tu as dus faire… Comme moi… Alors ne te laisse pas avoir…
Avant que Rozen ne puisse lui demander quoi que ce soit le jeune homme était déjà repartit. Il n’eut plus le temps d’y penser d’avantage, de toute façon ce garçon était fou cela était évident, car Ethan venait d’arriver et de le soulever en riant. Non, aucune chance que ce que ce détraqué a dit soit la vérité… enfin c’est ce qu’il crut à ce moment. Ethan lui proposa vite de venir chez lui étant donné qu’il était sans-abri, et c’est là, que tout changea, que tout devient un drame.
Plusieurs semaines étaient passées, elle se ressemblait toutes, Rozen regardait tristement la pluie tombée, Ethan n’allait pas tarder à revenir. Le jeune garçon soupira et se détacha de sa contemplation pour s’asseoir dans le canapé. Il retient ses larmes à grandes peines quand il entendit la serrure tourner, il devait être fort. L’homme apparut dans l’embrasure de la porte, Rozen tremblait. Il était tombé amoureux de Ethan il y a environ 2 mois, il le regrettait maintenant, l’autre avait trop changé quand il l’avait accueillit chez lui. Ca avait commencé doucement, une caresse par ci, un bisous par là, puis tout s’était accéléré : Ethan prenait de plus en plus de liberté sur son corps et ce qui devait arriver arriva. Ethan avait un peu bu ce jour là et s’était pratiquement jeté sur lui, Rozen eut beau crier et hurler, se débattre comme jamais, l’homme ne s’était pas arrêté, il l’avait violé… Et il avait recommencé, tous les jours quand celui-ci revenait du travail, il tirait son coup, cela dégoûté Rozen plus que tout et il avait de mal à croire qu’il avait pu tomber amoureux d’un tel monstre. Le jeune garçon faillit éclater en sanglot quand il sentit les mains d’Ethan glisser sous sa chemise, mais il se retint, cela ne lui plairait pas et il serait encore plus violent. Des baisers qui meurtrissaient sa peau, des mains qui le brûlaient, ses yeux froids mais remplit de désir qui lui transperçaient le cœur, ses yeux à lui qui se remplissaient doucement de larmes… Un coup… Un autre… Ethan était violent aujourd’hui… Il sentit l’érection tellement dure d'Ethan contre sa cuisse. Ethan se redressa et s’assit sur le canapé en mettant Rozen à genou devant lui, il savait ce qu’il devait faire. Il commença doucement à lécher le membre turgescent dans sa longueur avant que l’autre ne pousse sur sa tête pour lui faire engloutir son sexe jusqu'à la pratiquement s’étouffer avec, il avait l’habitude, cela ne lui faisait même plus mal au mâchoire. Ethan jouie rapidement dans sa bouche et rebanda presque instantanément en touchant de nouveau son corps. Il le pénétra durement par de grands coups de rein, Rozen n’avait même plus mal tellement il avait l’habitude, la seul chose à laquelle il ne s’habituerait jamais était le goût âpre du sperme sur sa langue. Quand Ethan eut fini sa besogne, il abandonna Rozen sur le sol, celui-ci, en sentant la morsure du froid le prendre, resserra sa chemise autour de son corps meurtri en pleurant.
Les mois passèrent, puis les années, Rozen espérait tous les jours que Ethan se lasse de lui comme le fou lui avait dit, mais ce moment n’arriva jamais, il avait maintenant 15 ans et se préparait au retour d’Ethan. Ce ne fut pas Ethan qui passa la porte cette nuit là.
- Salut, je suis un ami de Ethan, il m’a demandé de veiller sur toi, son petit jouet chéri. Il s’est fait arrêter par la police et va passer plusieurs années en prison.
Un éclair de joie qui passa dans les yeux de Rozen mais il fut de courte durée, l’ami, Rod, s’occupa effectivement de lui… comme Ethan. Exactement comme lui, mais plus souvent et plus durement si cela était possible. L’adolescent arrivait au bout de ce qu’il pouvait supporter mais ce n’est que trois mois après qu’il trouva le courage et la force de réagir.
Il tenait un couteau entre ses mains, elles tremblaient énormément. Il avait peur, l’autre lui ricana.
Les larmes coulaient librement sur ses joues, ses mains étaient en sang et le cadavre encore chaud de Rod était étendu à quelques pas de lui. Il était un meurtrier, il avait tué. Il hurla, pleura, trembla toute la nuit puis finit par s’endormir d’épuisement. Au petit matin, il se réveilla puis vit le corps froid de son bourreau et pour la première fois depuis longtemps… il sourit vraiment. Il était enfin libre, il pris tout l’argent qu’il trouva, de toute façon mort l’autre n’en avait pas besoin, et partit.
Une page de sa vie fut tourné ou plutôt arraché et brûler, recaler au fin fond de sa mémoire… Ca n’avait plus d’importance.
Pouvoirs *quatre maximum* :
| |
|